Mesdemoiselles, mesdames, messieurs,
J'ai l'honneur d'avoir été choisi pour vous apporter votre pitance en ce jour béni ! Je veux bien sûr parler des chapitres que vous attendez avec impatience pendant d'interminables journées.
Oui, je vous imagine très bien dans votre chambre, prostrés dans un coin en vous tenant les genoux et en vous balançant tels des pendules. Vous attendez mais rien ne vient... De temps en temps, levant les yeux vers le prophète qu'est votre ordinateur, vous espérez, bien que sachant au plus profond de votre être que le moment n'est pas encore venu.
Pourtant, ignorant cette idée néfaste et mû par une force insoupçonnée vous sortez de votre torpeur pour un moment... Là assis devant votre ordinateur, naviguant sur les flots tumultueux menant au site Pandorien, Terre Sainte du mangaphile fauché, vous cliquez convulsivement sur ces liens que vous connaissez si bien. Une fois arrivés à destination, une envie irrépressible de retourner vous morfondre dans le coin de votre chambre vous prend : vous craignez d'être désillusionné une fois de plus. Mais prenant votre courage à deux mains et ayant une foi totale et complète envers l'équipe de la PAT que vous chérissez tant, vous vous décidez à faire le grand saut. Vous y êtes presque, après une dernière hésitation, vous déglutissez difficilement et finalement, vous scrollez vers le bas.
C'est à ce moment, à ce moment précis que vous la ressentez. Mais oui, vous savez ! Cette envie irrépressible de pleurer toutes les larmes de votre corps jusqu'à vous desséchez complètement. C'est la joie ultime, celle de retrouver ses chapitres à l'endroit où on les attend après une si longue attente (ou du moins qui vous semble interminable). Mais surtout, c'est ce sentiment de ne pas avoir été trahi par ceux que l'on estime ! Ce sentiment qui fait que l'on se dit "Je le savais ! Je savais que je pouvais compter sur eux, sur la PAT. Je n'ai jamais douté une seule seconde !"
Mais assez empathisé ! Je me refuse à vous faire languir plus longtemps, moi qui en ce jour suis comme votre Messie (qu'est-ce que ça fait du bien !). Mais plutôt que votre Messie, je me considère avant tout comme votre humble serviteur, à vous qui nous soutenez et qui rendez notre travail si gratifiant. Merci.
J'ai l'honneur d'avoir été choisi pour vous apporter votre pitance en ce jour béni ! Je veux bien sûr parler des chapitres que vous attendez avec impatience pendant d'interminables journées.
Oui, je vous imagine très bien dans votre chambre, prostrés dans un coin en vous tenant les genoux et en vous balançant tels des pendules. Vous attendez mais rien ne vient... De temps en temps, levant les yeux vers le prophète qu'est votre ordinateur, vous espérez, bien que sachant au plus profond de votre être que le moment n'est pas encore venu.
Pourtant, ignorant cette idée néfaste et mû par une force insoupçonnée vous sortez de votre torpeur pour un moment... Là assis devant votre ordinateur, naviguant sur les flots tumultueux menant au site Pandorien, Terre Sainte du mangaphile fauché, vous cliquez convulsivement sur ces liens que vous connaissez si bien. Une fois arrivés à destination, une envie irrépressible de retourner vous morfondre dans le coin de votre chambre vous prend : vous craignez d'être désillusionné une fois de plus. Mais prenant votre courage à deux mains et ayant une foi totale et complète envers l'équipe de la PAT que vous chérissez tant, vous vous décidez à faire le grand saut. Vous y êtes presque, après une dernière hésitation, vous déglutissez difficilement et finalement, vous scrollez vers le bas.
C'est à ce moment, à ce moment précis que vous la ressentez. Mais oui, vous savez ! Cette envie irrépressible de pleurer toutes les larmes de votre corps jusqu'à vous desséchez complètement. C'est la joie ultime, celle de retrouver ses chapitres à l'endroit où on les attend après une si longue attente (ou du moins qui vous semble interminable). Mais surtout, c'est ce sentiment de ne pas avoir été trahi par ceux que l'on estime ! Ce sentiment qui fait que l'on se dit "Je le savais ! Je savais que je pouvais compter sur eux, sur la PAT. Je n'ai jamais douté une seule seconde !"
Mais assez empathisé ! Je me refuse à vous faire languir plus longtemps, moi qui en ce jour suis comme votre Messie (qu'est-ce que ça fait du bien !). Mais plutôt que votre Messie, je me considère avant tout comme votre humble serviteur, à vous qui nous soutenez et qui rendez notre travail si gratifiant. Merci.
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JohnnyBoy44, Le : 29/01/12 -
Commentaires (24)
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